M, Clara Luciani et Mika à l'affiche du Lovely Brive Festival.

C'est une programmation cohérente avec notre public, avec notre ADN. C'est une programmation qui, comme chaque année, offre le meilleur des tournées françaises, le meilleur des tournées de l'été. Elle est également ouverte à l'international. De plus en plus, avec des artistes comme Mika : ce sera pour moi l'artiste de cette année parce qu'il n'est jamais venu. Il y a une marque particulière chez nous, c'est qu'on trouve toujours ces artistes un peu famille, Julien Granel, Santa, Clara, Sopra même Kendji. Ces artistes sont venus, revenus, ils sont chez eux quand ils sont chez nous. Et nous, ce qu'on aimerait créer, c'est avoir ce sentiment de revenir chaque année, de trouver un fait qu'on veut pas louper. Où on retrouve tous les gens qu'on aime à la fois sur scène et devant la scène.

On n'a pas tous les ans 20 ans ! Les sommes investies étaient considérables. On reviendra hein sur des noms comme ça, mais je pense que là, on a une très très belle prog, il y a des artistes étrangers de renom. Le budget investi sur la programmation de façon globale est supérieur que celui de l'année dernière, c'est-à-dire qu'on a mis plus d'argent sur la programmation au sens large, mais de façon plus équilibrée. Peut-être que l'année dernière, passer de Sting à la soirée Grand Corps Malade, il y avait une marche assez importante. Cette année, elle est plus homogène, plus cohérente et plus forte dans son ensemble que la programmation de l'année passée. Effectivement, on n'a pas cette tête de pont qu'était Sting, mais chaque soir on a un artiste majeur.