
Il est un des rares artistes à avoir décidé de faire carrière même s’il déteste ce mot, en restant au pays plutôt qu'en montant à Paris. Jean-Louis Murat vient de sortir son nouvel album, « Morituri », « ceux qui vont mourir » en latin.
Un album qui tente de capturer l’esprit d’une année 2015 mouvementée. De la genèse du disque, son enregistrement à Paris une semaine après les attentats, à sa place dans le monde de la musique aujourd'hui en passant par son lien indéfectible avec le monde rural, présentation et interview fleuve avec celui que les rivières inspirent...
Morituri en 2mn
L'interview en intégralité
Morituri, un album conçu "moins dans une surexcitation légèrement rock n'roll"
"La lente disparition d'une certaine façon de vivre"
"Ici, il y a plus de choses qui meurent que de choses qui naissent"
Du Tarn-et-Garonne, et du tourisme "qui ravage l'Auvergne"
"La centralisation sur Paris est une sorte de catastrophe pour la musique"
"C'est toujours l'écriture et le chant qui m'ont sauvé de moi-même"
Pourquoi il ne défendra pas cet album sur scène en 2016